« Damia (chanteuse) » : différence entre les versions — Wikipédia


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Durant la [[Première Guerre mondiale|guerre de 1914-1918]], elle chante au front. Après l’armistice, Damia mène parallèlement une carrière de chanteuse et de comédienne cinématographique<ref name="Damia Le Monde"/> où elle joue souvent des rôles proches de sa situation personnelle et d’artiste.

Elle fréquente très tôt le cercle littéraire féminin et lesbien autour de la poétesse et salonnière [[Natalie Clifford Barney|Natalie Barney]]. Elle y côtoie [[Romaine Brooks]], [[Gab Sorère|Gabrielle Bloch dite Gab Sorère]] et la danseuse [[Loïe Fuller]] avec laquelle elle part en tournée et qui lui enseigne la science des éclairages et de la lumière mais surtout celle de la mise en scène. Elle fera ainsi encore sa première apparition cinématographique dans ''[[Le Lys de la vie]]'', le premier film de Loïe Fuller et Gab Sorère.

C’est dans ce contexte, qu’elle fait la rencontre de l'architecte, décoratrice et designer [[Eileen Gray]], avec laquelle elle noue une relation amoureuse. Eileen Gray crée pour la chanteuse son premier fauteuil dit « à la sirène »<ref>http://next.liberation.fr/culture/2005/04/29/l-epais-dossier-de-six-fauteuils_518091; https://artwithoutskin.com/2010/12/15/fauteuil-%E2%80%9Ca-la-sirene%E2%80%9D-deileen-gray-invendu-a-new-york/</ref>.

L’originalité de ses chansons et la force avec laquelle elle chante son répertoire (en robe noire, sans manches, éclairée par un seul projecteur) vont rapidement en faire une très grande vedette du monde de la chanson<ref name="Movie musical world">Movie musical world | Article du {{1er}} mars 2009 [http://movie-musical-world.blogspot.com/2009/03/damia-la-tragedienne-de-la-chanson.html ""Damia, la tragédienne de la chanson"]. consulté le 12 octobre 2020.</ref> et sa technique de présentation scénique sera reprise ultérieurement par de nombreuxdes artistes français comme Piaf. Certes, la voix de Damia est râpeuse et irrégulière, mais {{qui|on}} lui reconnait de donner le frisson<ref name="Movie musical world"/>.

{{Citation|La voix ample profonde, prête à se briser pleine "de sanglots et de révolte mêlés"}}, selon l'expression du romancier [[Henri Béraud]]<ref name="Damia Le Monde"/>, qui écrit de nombreux textes à mettre en musique, Damia dans un fourreau noir stylisé, s’illustre en chantant et en interprétant les mélodrames, les rengaines des faubourgs et ce, avant l'époque du micro, de la radio et de la télévision<ref name="Damia Le Monde"/>.

=== Premiers enregistrements sonores de ses chansons ===

En {{date-|décembre 1926}}, après avoir refusé plusieurs fois et pendant de nombreuses années les propositions au prétexte que sa voix gravée sur cire était déformée<ref name="Damia 3/4">France musique | émission "Tour de chant" du journaliste historien musical [[Martin Pénet]] [https://www.francemusique.fr/emissions/tour-de-chant/damia-3-4-58251 Damia 3/4 diffusée du dimanche 11 février 2018]. consulté le 13 octobre 2020.</ref>, elle prend conscience que le public demande à posséder ce nouvel objet de fétichisme musical<ref name="Damia 3/4" /> qu’est le disque enregistré. Son succès sur scène à l’époque est tel qu’on voulait avoir un bout de Damia chez soi<ref name="Damia 3/4" />. Elle se laisse donc finalement convaincre par la maison de disque ''[[DisquesOdeon Odéon(label)|OdéonOdeon]]'' d’enregistrer ses premiers disques EP 78 tours qui sortiront début 1927<ref name="Damia 3/4" />. À cette époque , la firme de disques odéonOdeon inaugure l’enregistrement électrique fraichement importé des États-Unis<ref name="Damia 3/4" />, une innovation fondamentale qui va révolutionner le marché du disque et la carrière de Damia<ref name="Damia 3/4" />. Dès 1927, elle va enregistrer la plupart de ses nouvelles créations, comme le confirme Francesco Rapazzini, auteur de la biographie « Damia, une diva française »<ref name="Damia 3/4" />. Après deux années passées chez OdéonOdeon, elle va signer brièvement pour quelques disques chez [[Pathé-Marconi|Pathé]] et [[Disques Perfectaphone|Perfectaphone]]<ref name="Damia 3/4" />, puis Damia fait son entrée chez [[Columbia Records|Columbia]], une marque angloaméricaine nouvellement implantée en France avec une filiale française et dont {{citation| la qualité d’enregistrement surpasse toutes ses concurrentes}}<ref name="Damia 3/4" />.

Si les premiers enregistrements sont jugés décevants : sa voix est nasillarde et les orchestrations sont mauvaises<ref name="Damia 3/4"/>, en revanche à partir de 1930, elle devient la compagne du directeur artistique de la Columbia, ''[[Jean Bérard]]'' et elle devient une fervente adepte des enregistrements de disques<ref name="Damia 3/4"/>.

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En 1935, la « tragédienne de la chanson » confiera à Maurice Verne, auteur du livre guide ''Les amuseurs de Paris'' (1932) : ''{{citation|Tu t’expliques maintenant que j’peux être prise d’une envie de chialer comme une idiote quand un musicien vient me donner l’audition d’une de ces goualantes un peu cul-cul qu’on fabrique à mon intention, avec ces histoires de bonnes prostituées, la saoulerie des larmes d’amour, tous les trucs quoi ! (…) Il y a quelquefois plus romance que la romance, c’est la vie.}}''<ref name="Frémeaux"/>.

Le {{date-|28 février 1936}}, Damia enregistre la chanson [[wikt:suicidogène|suicidogène]] ''[[Sombre Dimanche (chanson)|Sombre Dimanche]]'', une complainte hongroise<ref name="Frémeaux"/> titrée ''Szomorú Vasarnap'' signée Laszlo Javor et [[Rezső Seress]], remise en version française par [[Jean Marèze]] et [[François-Eugène Gonda]]<ref name="Sombre dimanche">Discogs | EP 78 RPM [https://www.discogs.com/fr/Damia-Sombre-Dimanche-Chanson-Hongroise-Cest-La-Guinguette-Java/release/7201422 "Damia – Sombre Dimanche (Chanson Hongroise)"]. consulté le 12 octobre 2020.</ref>. Son compositeur, pianiste de [[Budapest]], est accusé d’avoir engendré par sa tristesse mélodramatique plusieurs suicides<ref name="Damia Le Monde"/> , la chanson est ainsi est interdite d'interprétation au public dès sa création<ref>[https://books.google.fr/books?id=m7yxSCKb7QQC&pg=PT398&dq=Damia+%2B+sombre++dimanche&hl=fr&sa=X&ei=ob_uVJ3kKcXnUrLHgagE&ved=0CB8Q6AEwADgK#v=onepage&q=Damia%20%2B%20sombre%20%20dimanche&f=false Gilles Verlant, Jean-Eric Perrin, L'intégrale Gainsbourg, Fetjaine]</ref> en Hongrie<ref name="Frémeaux"/>. [[Georgius]] ne manqua pas de la parodier avec son « Triste Lundi ». Mais la chanson continuera son destin tantôt maudit puisqu'on la retrouvera bientôt sous le titre de ''[[Sombre Dimanche (chanson)|Gloomy Sunday]]'' chanté par [[Billie Holiday]]<ref name="Frémeaux"/>.

=== Déclin artistique depuis l'après-guerre ===

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Elle débuta apparemment devant la pellicule en 1920 dans ''[[Le Lys de la vie]]'' de [[Loïe Fuller]] et de [[Gab Sorère|Gabrielle Sorère]]<ref>{{Lien web |titre=Ce que l'on verra du 9 au 15 septembre dans les cinémas |périodique=Comoedia |site=gallica.bnf.fr |date=9 septembre 1921 |url=https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k7646363c/f3.item}}.</ref>, elle joue le rôle de la ''femme de la mer'' aux côtés de [[René Clair]], [[Margery Meadows]], [[Jean-Paul Le Tarare]] et [[Flora Hart]]. Le film sort en 1921.

C'est aussi elle, ''[[laLa Marseillaise]]'' dans le ''[[Napoléon (film, 1927)#Version de 1935 : Napoléon vu et entendu par Abel Gance|Napoléon Bonaparte]]'' d'[[Abel Gance]] (en 1927). Elle est de la distribution de ''[[Tu m'oublieras (film)|Tu m'oublieras]]'' en 1930 et de ''[[Sola (film)|Sola]]'' en 1931 où elle tient le rôle titre, 2 réalisations sous la direction de [[Henri Diamant-Berger]]. On la voit brièvement dans ''[[La Tête d'un homme (film)|La tête d'un homme]]'' de [[Julien Duvivier]] en 1933 et dans ''[[Les Perles de la couronne]]'' de [[Sacha Guitry]] (et de [[Christian-Jaque]]) en 1937 et dans ''[[Remontons les Champs-Élysées]]'' (1938)<ref name="Damia Le Monde"/>. On la revoit ensuite, vieillie, en 1956, en mendiante dans le cent soixantième remake de [[Notre-Dame de Paris (film, 1956)|Notre-Dame de Paris]], celui de [[Jean Delannoy]] en 1956 avec [[Gina Lollobrigida]] et [[Anthony Quinn]], puis dans [[Goubbiah, mon amour]] de Robert Darène où elle joue la mère d’une jeune gitane dont Goubbiah ([[Jean Marais]]) est éperdument amoureux.

== Postérité et hommages ==

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=== Discographie ===

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* N.B. : les disques OdéonOdeon sont libellés "Damia".

* N.B. : les disques Pathé sont libellés "{{Mlle}} Damia".

* N.B. : les disques Columbia sont présentés sous le patronyme de "{{Mme}} Damia" jusqu’en 1936, puis simplement "Damia".

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| style="border-bottom:1px solid grey;"|<small>1. [[Pierre Larrieu]] (P & C)<br>2. [[Charles-Louis Pothier]] & [[Henri Varna]] (P) [[René Mercier]] (C)</small><br/>

| style="border-bottom:1px solid grey;"|''{{Citation|La célèbre chanteuse tragédienne avec accompagnement de quatuor à cordes (1), d’accordéon (2).}}''

| style="border-bottom:1px solid grey;"|Disques OdéonOdeon, Paris<ref group="b" name="Le Portrait">Fiche "Encyclopédique" de l’[http://www.encyclopedisque.fr/disque/59003.html ''EP 78 : Le Portrait'']. consulté le 13 octobre 2020.</ref>.<br> <small>EP 78 RPM OdéonOdeon {{formatnum:166028}}</small>

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| style="border-bottom:1px solid grey;"|• ''1. La Chaîne''<br> • ''2. La Rue de la Joie''

| style="border-bottom:1px solid grey;"|<small>1. [[Léo Daniderff]] (P & C)<br>2. [[Pierre Larrieu]] (P & C)</small><br/>

| style="border-bottom:1px solid grey;"|''{{Citation|La célèbre chanteuse tragédienne, accompagnement de quatuor (1 et 2).}}''

| style="border-bottom:1px solid grey;"|Disques OdéonOdeon, Paris<ref group="b" name="La Chaîne">Photos des faces de l’''EP 78 : La Chaîne'' [https://i.ebayimg.com/images/g/34oAAOSwTJJeHFFQ/s-l1600.jpg 1] / [https://i.ebayimg.com/images/g/3NEAAOSwGC9eHFFU/s-l1600.jpg 2]. consulté le 13 octobre 2020.</ref>.<br> <small>EP 78 RPM OdéonOdeon {{formatnum:166056}} <br> EP OdéonOdeon 186058 (boîte) </small>

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| style="border-bottom:1px solid grey;"|• ''1. Les Ménétriers''<br> • ''2. Quatre-vingt-neuf''

| style="border-bottom:1px solid grey;"|<small>1. [[Jean Richepin]] (P) & [[Lucien Durand]] C)<br>2. [[Robert Valaire]], [[Fernand Rouvray]] & [[Henri Varna]] (P) [[Pierre Larrieu]] (C)</small><br/>

| style="border-bottom:1px solid grey;"|''{{Citation|La célèbre chanteuse tragédienne (1), avec accompagnement de quatuor (2).}}''

| style="border-bottom:1px solid grey;"|Disques OdéonOdeon, Paris<ref group="b" name="Les Ménétriers">Fiche "Encyclopédique" de l’[http://www.encyclopedisque.fr/disque/71651.html ''EP 78 : Les Ménétriers'']. consulté le 13 octobre 2020.</ref>.<br> <small>EP 78 RPM OdéonOdeon {{formatnum:166057}}</small>

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| style="border-bottom:1px solid grey;"|• ''1. La Veuve''<br> • ''2. Chanson de fou ''

| style="border-bottom:1px solid grey;"|<small>1. [[Jules Jouy]] (P), [[Pierre Larrieu]] (C)<br>2. [[Henri de Fleurigny]] (P) & [[Gaston Lemaire]] (C)</small><br/>

| style="border-bottom:1px solid grey;"|''{{Citation|La célèbre chanteuse tragédienne, accompagnement de quatuor (1 et 2).}}''

| style="border-bottom:1px solid grey;"|Disques OdéonOdeon, Paris<ref group="b" name="La Veuve 1">Notice bibliographique BNF N° FRBNF37936769 de l’[https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb37936769v ''EP 78 : La Veuve 1'']. consulté le 13 octobre 2020.</ref>.<br><small>EP 78 RPM OdéonOdeon {{formatnum:171052}}</small>

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| rowspan="3" style="border-bottom:1px solid grey;"|'''1928'''

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| style="border-bottom:1px solid grey;"|<small>1. [[?]](P) &(C)<br>2. [[?]] (P) &(C)</small><br/>

| style="border-bottom:1px solid grey;"|Accompagnée par Wal-Berg et son orchestre

| style="border-bottom:1px solid grey;"|Columbia Graphophone Company Ltd<ref group="b" name="Un Dimanche comme les Autres">Notice bibliographique BNF N° FRBNF45845791 de l’[https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb45845791n ''EP 78 : Un Dimanche comme les Autres'']. consulté le14le {{date-|14 octobre 2020}}.</ref>.<br><small>EP 78 RPM Columbia - DF 1900 </small>

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| style="border-bottom:1px solid grey;"|• ''1. La Rue (Chanson)''<br> • ''2. L'étranger (Chanson)''

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| style="border-bottom:1px solid grey;"|• ''1. Aux quatre coins d'la banlieue (chanson)''<br> • ''2. Aimez-vous les moules marinières ? (Extrait de la revue du [[Casino de Paris]] : "Tout Paris chante")''

| style="border-bottom:1px solid grey;"|<small>1. [[Michel Vaucaire]] (P) & [[Rudi Revil.]] (C)<br>2. Michel Vaucaire, [[Henri Varna]] (P) & Rudi Revil</small><br/>

| style="border-bottom:1px solid grey;"|Accompagnée par Wal-Berg et son orchestre

| style="border-bottom:1px solid grey;"|Columbia Graphophone Company Ltd<ref group="b" name="Aux Quatres Coins d'la Banlieue">Fiche "PopSike" du résultat de vente aux enchères de l’[https://www.popsike.com/DAMIA-Aux-4-coins-dla-banlieue-COLUMBIA-DF-2073-EX/120868364744.html ''EP 78 : Aux quatre coins d'la banlieue''] et Notice bibliographique BNF N° [https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb37826280m FRBNF45845791]. consulté le {{date-|13 octobre 2020}}.</ref>.<br> <small>EP 78 RPM Columbia - DF 2073</small>

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| style="border-bottom:1px solid grey;"|<small>1. [[P. Buzulier]](P) & , [[Borel-Clerc]] (C)<br>2. [[R. Asso]], [[M. Lukine]] (P) & [[Léo Poll]](C)</small><br/>

| style="border-bottom:1px solid grey;"|Accompagnement d’orchestre sous la direction de Pierre Chagnon

| style="border-bottom:1px solid grey;"|Columbia Graphophone Company Ltd<ref group="b" name="J'ai Rêvé Cette Nuit">Notice bibliographique BNF N° FRBNF37826326 de l’[https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb378263263 ''EP 78 : J'ai Rêvé Cette Nuit'']. consulté le14le {{date-|14 octobre 2020}}.</ref>.<br><small>EP 78 RPM Columbia - DF 2190</small>

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| style="border-bottom:1px solid grey;"|• ''1. Johnny Palmer (Chanson de marins)''<br> • ''2. De l'Atlantique au Pacifique (Chanson de marins)''

| style="border-bottom:1px solid grey;"|<small>1. [[Charles Wedel]](P) & [[Claude Pingault]] (C)<br>2. [[Jean Féline]] (P) & [[Arthur Honegger]](C)</small><br/>

| style="border-bottom:1px solid grey;"|Accompagnée par Wal-Berg, son orchestre et ses chœurs

| style="border-bottom:1px solid grey;"|Columbia Graphophone Company Ltd<ref group="b" name="Johnny Palmer (Chanson de marins)">Notice bibliographique BNF N° FRBNF37826380 de l’[https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb37826380w ''EP 78 : Johnny Palmer (Chanson de marins)'']. consulté le14le {{date-|14 octobre 2020}}.</ref>.<br><small>EP 78 RPM Columbia - DF 2287</small>

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| style="border-bottom:1px solid grey;"|• ''1. Je crois n'avoir jamais aimé'' (Valse chantée du film [[Première (film, 1937)|Première]])<br> • ''2. Du soleil dans ses yeux (Valse musette chantée)''

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| style="border-bottom:1px solid grey;"|<small>1. [[Édith Piaf]] (P), [[Marguerite Monnot]] (C)<br>2. Édith Piaf (P), Marguerite Monnot (C)</small><br/>

| style="border-bottom:1px solid grey;"|Accompagnement d’orchestre sous la direction de Pierre Chagnon

| style="border-bottom:1px solid grey;"|Columbia Graphophone Company Ltd<ref group="b" name="Tu es partout">Notice bibliographique BNF N° FRBNF37826760 de l’[https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb37826760c ''EP 78 : Tu es partout'']. consulté le14le {{date-|14 octobre 2020}}.</ref>.<br><small>EP 78 RPM Columbia - DF 2847</small>

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| style="border-bottom:1px solid grey;"|• ''1. Tu es partout (version tirée du film "[[Montmartre-sur-Seine]]")''<br> ''2. Un coin tout bleu''(Inédit / version tirée du film "Montmartre sur Seine")

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| style="border-bottom:1px solid grey;"|<small>1. [[Lucien Lagerde]], Maurice Alexander (P) & [[Maurice Alexander (musicien)|Maurice Alexander]] (C)<br>2. [[Paul Normand]] (P) & [[Tiarko Richepin]](C)</small><br/>

| style="border-bottom:1px solid grey;"|Accompagnement d’orchestre sous la direction de Pierre Chagnon

| style="border-bottom:1px solid grey;"|Columbia Graphophone Company Ltd<ref group="b" name="Le Petit Manège">Notice bibliographique BNF N° FRBNF37826855 de l’[https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb378268552 ''EP 78 : Le Petit Manège']. consulté le14le {{date-|14 octobre 2020}}.</ref>.<br><small>EP 78 RPM Columbia - DF 2930</small>

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| style="border-bottom:1px solid grey;"|• ''1. Tes yeux sont couleur de printemps (Chanson)''<br> • ''2. Un soir de fête (Valse chantée)''

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=== Filmographie ===

; longlongs métrages

* [[1921 au cinéma|1921]] : ''[[Le Lys de la vie]]'' de [[Loïe Fuller]] et de [[Gab Sorère|Gabrielle Sorère]] : Femme de la mer

* [[1927 au cinéma|1927]] : ''[[Napoléon (film, 1927)|Napoléon]]'', d'[[Abel Gance]] : La ''Marseillaise''

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[[Catégorie:Lauréat de l'Académie Charles-Cros]]

[[Catégorie:Nom de scène]]

[[Catégorie:Mononyme de chanteuse française]]

[[Catégorie:Naissance en décembre 1889]]

[[Catégorie:Naissance dans le 13e arrondissement de Paris]]