« Damia (chanteuse) » : différence entre les versions — Wikipédia

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== Biographie ==

Ses parents sont originaires des [[Vosges (département)|Vosges]] : son père Nicolas Damien (1853-1903) est originaire de [[Nonville (Vosges)|Nonville]] et sa mère, Marie- Joséphine- Louise Claude dite « Fifine » Claude (1858-1916) de [[Darney]]. Son grand-père maternel, Louis Claude, estétait ouvrier en fer, et sa grand-mère maternelle, Marie-Catherine Larcher, estétait brodeuse<ref>état-civil de la Ville de Paris, {{13e}} arrondissement, et archives départementales des Vosges</ref>. Marie-Louise Nicolasva etsouvent «en Fifinevacances »,chez ses grands-parents, vivotent d’abordmaternels à [[Darney]] enoù travaillantils danspossèdent une usine de tissageferme, maisavant veulentque vivreses àparents Paris. Lui souhaite devenir fonctionnaire et elle, blanchisseuse, ou faire du ménage ou du repassage. Jeunes mariés, ils gagnent la capitale où le couplene s'installeinstallent 8,à passageParis Simonetoù (13ème).son Après deux premiers enfants, Ernest puis Juliette, nait Marie-Louise dite Marise. Les Damien trouvent un appartement un peu plus grand au 11, rue Jeanne d'Arc et Nicolas Damienpère devient agent de police.

Marie-Louise va souvent en vacances chez ses grands-parents maternels à [[Darney]] où ils possèdent une ferme, avant que ses parents ne s'installent à Paris où son père devient agent de police.

Peu de temps après le décès de son père, la jeune Marie-Louise Damien âgée de 15 ans, fuit la demeure parentale de [[Rueil-Malmaison|Rueil]] pour échapper à la maison de correction<ref name="Frémeaux">Frémeaux et associés | Livret rédigé par Eric Rémy pour l’édition du double CD [https://www.fremeaux.com/index.php?page=shop.product_details&category_id=74&flypage=shop.flypage&product_id=197&option=com_virtuemart "ANTHOLOGIE 1926 - 1944"]. Consultation du 12 octobre 2020. </ref>. ''{{citation| Je bourlinguais déjà !}}'', expliquera-t-elle plus tard<ref name="Frémeaux"/>. Très jeune, elle frôla, semble-t-il, à plusieurs reprises, la maison de correction et trouve finalement un rôle de figuration au [[théâtre du Châtelet]] puis à la Cigale où, affublée de robes ridicules, elle danse en chantant une ritournelle acidulée {{citation|c’est nous les bonbons anglais.}}<ref name="Frémeaux"/>.