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'''Juan Asensio''', né le {{date|18|mars|1971}}<ref>[http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb14463509v/PUBLIC Notice d'autorité de la Bibliothèque nationale de France].</ref> à [[Lyon]]{{Référence souhaitée}}, est un critiquerédacteur littéraireen société de bourse et polémistewebcritique littéraire français.
== Biographie ==
Après des études à l'Externat Sainte-Marie{{Référence souhaitée}} jusqu'en classe de [[khâgne]], Juan Asensio s'est, selon ses dires<ref>[http://stalker.hautetfort.com/about.html Présentation de l'auteur].</ref>, inscrit en thèse de doctorat à l'Université de [[Université de Paris Ouest - Nanterre La Défense|Paris X-Nanterre]] pour mener une recherche, abandonnée en cours de route{{Référence souhaitée}}, sur la figuration du diable dans les romans de [[Georges Bernanos]], [[Julien Green]] et [[François Mauriac]]{{Référence souhaitée}}.
Il déclare aussi avoir fréquenté, durant les années 1990, la rédaction de la revue monarchiste ''[[Immédiatement]]'', tout en poursuivant des études en Lettres modernes et Philosophie à l'[[Université Lyon-III|Université Jean Moulin-Lyon III]].
DepuisIl son arrivée à Paris en l'an 2000 jusqu'en 2007, il a travaillétravaille dans une société de bourse en tant que rédacteur{{Référence souhaitée}} et chargé de la qualité rédactionnelle pour son bureau d'analyse financière<ref>Cf. [http://criticusleblog.blogspot.com/2008/08/enseignement-du-journalisme-le.html « Enseignement du journalisme : le témoignage de Juan Asensio »], entretien avec Roman Bernard sur le blog Criticus, 26 août 2008.</ref>, tout en se consacrant à ses activités littéraires, notamment l'écriture et la publication d'un essai à compte d'auteur sur l'œuvre de [[George Steiner]] (''La Parole souffle sur notre poussière'', [[Éditions L'Harmattan|L'Harmattan]], 2001), un recueil de textes consacrés à "l'étude du démoniaque" dans la littérature (''La Littérature à contre-nuit'', A contrario, 2005 ; réédition revue et augmentée par Sulliver, 2007) ainsi que la création en mars 2004 de son [[weblog]] : « Stalker. Dissection du cadavre de la littérature ».
== Activités littéraires ==
Grand admirateur de [[Georges Bernanos]]<ref>En [[2010]], il a signé la préface à la réédition de ''L'Imposture'' de Bernanos aux éditions du [[Le Castor astral|Castor Astral]] {{ISBN|978-2-85920-823-3}}.</ref>, ilIl a écrit dans diversquelques hebdomadaires et revues, dont ''[[Valeurs actuelles]]'', ''[[L'Atelier du Roman]]'', ''[[Contrelittérature]]'', ''Les Études bernanosiennes'', ''[[Nunc]]'', ''[[Immédiatement]]'', ''[[Cancer !]]'', ''Les Provinciales'' et ''La Sœur de l'Ange''. Également membre du comité de rédaction des revues ''Esprits libres'', dirigée par Nathalie Sarthou-Lajus et [[Chantal Delsol]], et ''Libres'', dirigée par Raphaël Dargent, il cofonda ''Dialectique'' et ''Les Brandes'', revue dont il fut l'unique rédacteur.
Essayiste, il se dit en quête d'une littérature « transcendante » et se veut en conflit avec la plupart de ses « confrères » contemporains, qu'il qualifie de « [[cacographie|cacographes]]<ref>Cf. [http://stalker.hautetfort.com/archive/2007/09/04/georges-molinie-prince-des-cacographes.html « Georges Molinié, prince des cacographes »], 5 septembre 2007.</ref> ». Il a participé au ''[[Cahier de l'Herne]]'' consacré à [[George Steiner]]{{Référence (sur l'œuvre duquel son essai est le seul disponible en français)souhaitée}} et aux « [[Dossier H|Dossiers H]] » consacrés à [[Pierre Boutang]] et à [[Joseph de Maistre]]{{Référence souhaitée}}.
Depuis mars 2004<ref> Cf. [[Dominique Autié]], [http://blog-dominique.autie.intexte.net/blogs/index.php/2008/03/14/la_zone_an_quatre « ''La Zone'', quatre années de tranchées »], 14 mars 2008.</ref>, Juan Asensio anime sous le pseudonyme ''Stalker'' (titre d'un [[Stalker (film)|film]] d'[[Andreï Tarkovski]]) un [[weblog]]<ref>Cf. [http://archives.lesechos.fr/archives/2006/LesEchos/19762-511-ECH.htm « Cyberpolémiques littéraires »], ''[[Les Échos]]'', 29 septembre 2006.</ref> où, faisant œuvre d'analyste<ref>Si ses analyses portent essentiellement sur les livres, le « stalker » réagit parfois à l'actualité, pour en tirer des considérations de portée générale : on lira par exemple [http://stalker.hautetfort.com/archive/2006/02/03/allah-ouakbar.html « Allah Ouakbar »], 4 février 2006 ; [http://stalker.hautetfort.com/archive/2007/11/29/d-un-silence-assourdissant-sur-l-assassinat-d-anne-lorraine.html « D'un silence assourdissant : sur l'assassinat d'Anne-Lorraine Schmitt »], 1{{er}} décembre 2007.</ref>, il entend effectuer une critique « [[réactionnaire]]<ref>« Je vous conseille de méditer la phrase de [[Nicolás Gómez Dávila]]: "Mais si le réactionnaire n’a aucun pouvoir à notre époque, sa condition l’oblige à témoigner de son écœurement. La liberté, pour le réactionnaire, est soumission à un commandement" (...). Témoigner, c’est bien ce que je fais, parmi, bien sûr, une multitude d’autres voix. Et ce témoignage n’implique, de ma part, aucun courage : je le fais parce que je dois le faire, et c’est dans ce lien que je trouve ma liberté. » ([http://marcalpozzo.blogspirit.com/archive/2008/11/28/entretien-avec-juan-asensio.html « La littérature et le mal, Entretien avec Juan Asensio »], blog de [[Marc Alpozzo]], 28 novembre 2008).</ref> » du « cadavre de la littérature ».
== Publications ==
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