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Ligne 38 : == Biographie == Madeleine Jaeger entre très jeune au [[Conservatoire national supérieur de musique et de danse|Conservatoire de Paris]] et obtient dès 1878 une première médaille de [[solfège]], ainsi qu'une première médaille de piano préparatoire en 1880<ref name=":0">{{Ouvrage|langue=FR|auteur1=|prénom1=Constant|nom1=Pierre|lien auteur1=Constant Pierre|titre=Le Conservatoire national de musique et de déclamation : documents historiques et administratifs|passage=779|lieu=Paris|éditeur=Imprimerie nationale|date=1900|pages totales=|isbn=|lire en ligne=https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9761960v/f819.image|consulté le=2020-04-06}}</ref>. Elle réalise ensuite un parcours complet au sein de l'établissement<ref name=":0" />, en étant l'élève de [[Auguste Bazille|Bazille]] pour l'[[Accompagnement (musique)|accompagnement]] ({{1er À l'issue de sa scolarité, elle est une concertiste réputée<ref>{{Lien web|langue=FR|auteur1=|titre=La Revue hebdomadaire : romans, histoire, voyages|url=https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k299311p/f643.item|site=Gallica|périodique=|date=1893-04|consulté le=2020-04-06}}</ref>, crée la ''[[Bourrée fantasque]]'' de [[Emmanuel Chabrier|Chabrier]] lors d'un concert à la [[Société nationale de musique]] en 1893<ref>[[Roger Delage]], ''Emmanuel Chabrier''. Fayard, Paris, 1999, 767 p.</ref>, se produit régulièrement en soliste avec les [[Orchestre Lamoureux|Concerts Lamoureux]]<ref>{{Lien web|langue=fr|titre=Jaeger (M.)|url=https://dezede.org/individus/jaeger/|site=Dezède|consulté le=2020-04-06}}</ref>, organise des [[Récital|récitals]] thématiques<ref>{{Lien web|langue=fr-FR|titre=Conférence d’Amsterdam 2009 – 2/17 {{!}} AIBM Groupe français|url=http://www.aibm-france.fr/documentation-professionnelle/conferences-internationales/amsterdam-2009/amsterdam-2009-2/|consulté le=2020-04-06}}</ref> et accompagne le violoniste [[Jacques Thibaud]]<ref>{{Lien web|langue=FR|auteur1=|titre=Le Ménestrel : journal de musique|url=https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5782554s/f8.item|site=Gallica|périodique=|date=1898-04-10|consulté le=2020-04-06}}</ref>. Ligne 46 : Atteinte de [[Tuberculose|tuberculose pulmonaire]]<ref name=":2">Mention dans l'acte de décès aux [[Archives cantonales vaudoises]], cote SB 267/59/3/2.</ref>, malgré une cure d'un an dans un [[sanatorium]] de Leysin<ref name=":2" />, elle meurt de la maladie dans cette commune du [[canton de Vaud]] le 6 octobre 1905 et est inhumée à [[Clarens (Vaud)|Clarens]]<ref>[https://www.letempsarchives.ch/page/GDL_1905_10_23/3 Annonce] de son décès dans la ''[[Gazette de Lausanne]]'' du 23 octobre 1905, p. 3</ref>. Comme compositrice, outre ses travaux d'étudiante au Conservatoire (une ''Fantaisie'' pour piano et violon en 1890 et un ''Benedictus'' pour voix, harpe, violoncelle et orgue en 1891 par exemple<ref>{{Article |prénom1=Jann |nom1=PASLER |titre=Classe sociale, genre et formation musicale : préparer le prix de Rome au Conservatoire de Paris entre 1871 et 1900 |périodique=Romantisme |volume=153 |numéro=3 |date=2011 |issn=0048-8593 |issn2=1957-7958 |doi=10.3917/rom.153.0085 |lire en ligne=https://doi.org/10.3917/rom.153.0085 |consulté le=2020-04-06 |pages=85 }}</ref>), sont conservées à la [[Bibliothèque nationale de France]] deux [[Mélodie (genre)|mélodies]] pour voix et piano, publiées chez Paul Dupont à Paris. == Œuvres == * ''La Chanson du rouet'', mélodie pour [[mezzo-soprano]] (ou [[soprano]]) et piano, poésie de [[Leconte de Lisle]], (1891)<ref name=":1">{{Ouvrage|langue=|auteur1=|prénom1=|nom1=|titre=La Chanson du rouet ! Poésie de Leconte de Lisle, musique de Madeleine Jaeger|passage=|lieu=|éditeur=P. Dupont|date=1891|pages totales=|isbn=|lire en ligne=http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1157355z|consulté le=2020-04-06}}</ref> * ''Les Étoiles mortelles'', mélodie pour mezzo-soprano (ou soprano) et piano, poésie de == Distinctions == Ligne 60 : == Liens externes == * {{Autorité}} * {{Bases
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