« Roger Claudel » : différence entre les versions — Wikipédia


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L'arrivée du code de [[rugby à XIII]] en France en 1934, portée par [[Jean Galia]], séduit R. Claudel qui monte sur la capitale pour intégrer le nouveau club du [[Paris rugby XIII]]. Il y joue quatre saisons mais le club ne remporte aucun titre et se dissout en 1938, amenant R. Claudel à jouer dans la catégorie amateurs à Courbevoie pendant une année, en 1938-1939. Parallèlement, il participe trois fois à la [[Coupe d'Europe des nations de rugby à XIII|Coupe d'Europe des nations]] – en [[Coupe d'Europe des nations de rugby à XIII 1935|1935]], [[Coupe d'Europe des nations de rugby à XIII 1935-1936|1936]] et [[Coupe d'Europe des nations de rugby à XIII 1936-1937|1937]] – avec l'[[équipe de France de rugby à XIII|équipe de France]]. En 1939, la réquisition pour la [[Seconde Guerre mondiale]] suspend le Championnat puis le [[régime de Vichy]] prend la décision d'[[Interdiction du rugby à XIII en France|interdire le rugby à XIII en France]] en 1940. R. Claudel dénonce vigoureusement cette politique et se voit contraint de revenir au rugby à XV ; il joue ainsi deux années encore au sein du club parisien du [[Racing 92|Racing CF]] entre 1940 et 1942.

Par la suite, il s'engage dans les [[Forces françaises libres]]. Incorporé dans le [[3e régiment de spahis marocains|{{3e}} régiment de spahis marocains]], il accompagne la {{Douteux|[[2e division blindée (France)|division Leclerc]]|Voir en page de discussion|28/06/2023}}, qui entre en [[Alsace]] pendant l'hiver 1944. C'est là que Roger Claudel trouve la mort, avant de se voir décerner la mention « [[mort pour la France]] »<ref name="MDH"/>.

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