« Romaine Cauque » : différence entre les versions — Wikipédia


Article Images

Ligne 1 :

{{Infobox Biographie2}}

{{orphelin|date=mars 2020}}

Romaine Cauque est une [[Littérature québécoise|autrice québécoise]] comptant à son actif deux romans (''Meilleure chance la prochaine fois'', ''Love bombing à [[Montréal|Tio'tia:ke]]'') et plusieurs textes courts<ref>{{Lien web |langue=fr |titre=Romaine Cauque - membre |url=https://www.romansquebecois.com/romans-quebecois/auteur/membre/Romaine-Cauque |site=Romans Québécois |consulté le=2020-11-04}}.</ref>.

{{à wikifier|date=mars 2020}}

{{sources secondaires|date=mars 2020}}

{{Infobox Biographie2

| charte = écrivain

| pseudonyme =

| nationalité = Canadienne

}}

'''Romaine Cauque''' est une [[Littérature québécoise|romancière québécoise]]. Parmi ses contributions : deux romans (''Meilleure chance la prochaine fois''<ref name="devoir">{{Lien web|langue=fr|auteur1=|titre=Dans l’abyssale vacuité de la «chick lit» ordinaire|url=https://www.ledevoir.com/lire/489648/fiction-quebecoise-dans-l-abyssale-vacuite-de-la-chick-lit-ordinaire|site=Le Devoir|périodique=|date=21 janvier 2017|consulté le=2020-03-04}}</ref>, Triptyque, 2016; ''Love bombing à Tio'tia:ke'', DL&DR, 2020<ref>{{Lien web|langue=fr-CA|titre=Love bombing à Tio’tia:ke|url=https://dldr.org/produit/love-bombing-a-tiotiake/|site=DLDR|consulté le=2020-03-04}}</ref>), textes de commentaire d'actualité<ref>{{Lien web|langue=fr-FR|titre=MILF ou Cougar : Réflexions sur le cas Macron-Trogneux|url=https://jesuisfeministe.com/2017/05/26/milf-ou-cougar-reflexions-sur-le-cas-macron-trogneux/|site=jesuisféministe.com|date=2017-05-26|consulté le=2020-03-04}}</ref> et micro-fiction<ref>{{Lien web|titre=Profil de l'auteur Romaine Cauque - 1 abonné - page 1 - Short Édition|url=https://short-edition.com/fr/auteur/romaine-cauque|site=short-edition.com|consulté le=2020-03-04}}</ref>.

== OrigineSignification du nom de plume ==

Si dans l’imaginaire québécois, le nom "« Romaine" » évoque une des dernières grandes rivières du Nord (laissée sauvage jusqu’au déploiement d’undu projet d’[[Hydro-Québec]]Complexe en 2009) etde la réserve Innue du même nom (« Romaine » ayant été choisi]] par son assonance avec « unamen », « pierre rouge »[[Hydro-Québec]] en innu2009), le nom completévoque indiqued'abord de par son effet comique une posture ludique assumée par son assonance avec le nomcelui d'un cocktail : au Québec, le « rhum-coca » est désigné par son nom américain, « [[Cuba libre|rhum’n’cokerhum and coke]] »,<ref>{{Lien parfoisweb lui|langue=fr-mêmeCA confondu|prénom=Fraichement avec|nom=pressé le|titre=Rhum «& Cubacoke libreversion »Québec |url=https://www.fraichementpresse.ca/recettes/rhum-coke-version-quebec-1.1685877 |site=Fraichement pressé |consulté le=2020-12-19}}.</ref>.

== Thèmes et réception ==

« Cauque » est utilisé dans certaines régions de France pour désigner un crustacé, animal qui correspond, de par ses caractéristiques aux les traits du personnage central de ''Meilleure chance la prochaine fois'' (capacité d’attaque et vulnérabilité sous la carapace).

Dans son premier roman, ''Meilleure chance la prochaine fois'', selon une critique du journal ''[[Le Devoir]]'', « la romancière nous offre un peu le microcosme de beaucoup de ces femmes qui ont dépassé le cap de le trentaine et qui se trouvent encore seules, peut-être parce qu’elles placent la barre trop haute<ref name="devoir">{{Lien web|langue=fr|auteur1=|titre=Dans l’abyssale vacuité de la « chick lit » ordinaire|url=https://www.ledevoir.com/lire/489648/fiction-quebecoise-dans-l-abyssale-vacuite-de-la-chick-lit-ordinaire|site=Le Devoir|périodique=|date=21 janvier 2017|consulté le=2020-03-04}}.</ref> ». La chroniqueuse Caroline Jarry rattache le livre au genre de la « littérature de filles », connue sous le nom de « chick lit », sans relever le propos explicitement [[Féminisme|féministe]] et critique du récit. Les questions de double standard (professionnels ou amoureux) entre hommes et femmes, de maternité (ou [[Nullipare|nulliparité]]), de vieillissement ou de [[plafond de verre]] y sont abordées explicitement.

Dans son premier roman, ''Meilleure chance la prochaine fois'', selon ''[[Le Devoir]]'', « la romancière nous offre un peu le microcosme de beaucoup de ces femmes qui ont dépassé le cap de le trentaine et qui se trouvent encore seules, peut-être parce qu’elles placent la barre trop haute<ref name="devoir" /> ». La chroniqueuse Caroline Jarry rattache le livre au genre de la « littérature de filles », connue sous le nom de « chick lit » (un genre auquel se rattache la série des [[Bridget Jones]] d’[[Helen Fielding]] ou le [[Manuel de chasse et de pêche à l’usage des filles]] de Melissa Bank), sans relever le propos explicitement féministe du récit (où les questions de double standard -professionnels, amoureux- entre hommes et femmes, de maternité, de vieillissement ou de plafond de verre sont abordées). Le fait que le roman déroge à la convention principale d'un genre réputé pour son caractère hyper-codifié<ref>{{Article |prénom1=Françoise |nom1=Hache-Bissette |titre=La Chick lit  : romance du XXI e  siècle  ? |périodique=Le Temps des médias |volume=19 |numéro=2 |date=2012 |issn=1764-2507 |issn2=2104-3671 |doi=10.3917/tdm.019.0101 |lire en ligne=http://dx.doi.org/10.3917/tdm.019.0101 |consulté le=2020-03-06 |pages=101 }}</ref> (à savoir, la [[Happy end|fin heureuse]]) ainsi qu'à la [[normalisation linguistique]] (usage d'argot montréalais et d'anglicismes, [[Néologisme|néologismes]], variations des [[Registres de langue en français|registres de langue]], [[intertextualité]]) tend à indiquer qu'il s'inscrit dans la mouvance des appropriations subversives de ce « genre disqualifié en raison même de son caractère féminin »<ref name="CULTUREHEBDO">{{Lien web|titre=CULTURE HEBDO * MONTREAL * CRITIQUES * LIVRES * DISQUES * DVD * VINS * VIDÉOS|url=http://www.culturehebdo.com/livres_dembre-2016.htm|site=www.culturehebdo.com|consulté le=2020-03-06}}.</ref>. Ce type de réception confirme la « prégnance des stéréotypes » qui reproduit « le stigmate associant littérature commerciale et littérature écrite (par) et destinée aux femmes »<ref>{{Article |prénom1=Delphine |nom1=Naudier |titre=Genre et activité littéraire  : les écrivaines francophones |périodique=Sociétés contemporaines |volume=78 |numéro=2 |date=2010 |issn=1150-1944 |issn2=1950-6899 |doi=10.3917/soco.078.0005 |lire en ligne=http://dx.doi.org/10.3917/soco.078.0005 |consulté le=2020-03-06 |pages=5 }}</ref> de le rejet des potentialités de renouvellement du genre<ref>{{Article |langue=fr |prénom1=Anne-Marie |nom1=Shink |titre=Ce que les romans d’amour ont à nous apprendre |périodique=Cahiers d'histoire |volume=36 |numéro=2 |date=2019 |issn=0712-2330 |issn2=1929-610X |doi=https://doi.org/10.7202/1066847ar |lire en ligne=https://www.erudit.org/fr/revues/histoire/2019-v36-n2-histoire05089/1066847ar/ |consulté le=2020-03-06 |pages=109–127 }}</ref>. La Si chroniqueuseJarry affirme en effet que « le roman de Romaine Cauque n’a ni la drôlerie ni la finesse de ses prédécesseurs, et il s’ajoute plutôt à la liste des romans ultralégers et peu intéressants qui ont malheureusement donné mauvaise réputation au genre »<ref name="devoir" />. Ailleurs, onil soulignea toutefois l'intérêtété dessouligné "deailleurs lireque desle pagesroman se situait « ''à contre-courant de la pensée unique'' »<ref name="CULTUREHEBDO" />";. dD'après le site [[Canoë (site web)|Canoe]], l'écriture du livre est « franche, parfois tranchante, mais toujours teintée d'humour »<ref>{{Lienlien brisé web|langue=fr|nom1=Média|prénom1=Québecor|titre=Comment survivre à la fin trentaine?|url=http://fr.canoe.ca/divertissement/livres/nouvelles/archives/2016/12/20161208-111624.html|site=fr.canoe.ca|consulté le=2020-03-04 |brisé le=11-11-2023 }}</ref> et "[L]a nouveauté de ce roman tient [...] à l'opinâtreté avec laquelle la narratrice, aussi anéantie soit-elle, résiste à la répudiation dont elle est victime et à son propre ravalement"<ref>{{Article|auteur1=Lucie Joubert|titre=L'humour littéraire des femmes au Québec: nouvelles Pénélope, nouvelles Bérénice?|périodique=Études littéraires et Humour Studies. Vers une humoristique francophone|date=2021|pages=p. 148}}</ref>.

== Réception ==

Dans son premier roman, ''Meilleure chance la prochaine fois'', selon ''[[Le Devoir]]'', « la romancière nous offre un peu le microcosme de beaucoup de ces femmes qui ont dépassé le cap de le trentaine et qui se trouvent encore seules, peut-être parce qu’elles placent la barre trop haute<ref name="devoir" /> ». La chroniqueuse Caroline Jarry rattache le livre au genre de la « littérature de filles », connue sous le nom de « chick lit » (un genre auquel se rattache la série des [[Bridget Jones]] d’[[Helen Fielding]] ou le [[Manuel de chasse et de pêche à l’usage des filles]] de Melissa Bank), sans relever le propos explicitement féministe du récit (où les questions de double standard -professionnels, amoureux- entre hommes et femmes, de maternité, de vieillissement ou de plafond de verre sont abordées). Le fait que le roman déroge à la convention principale d'un genre réputé pour son caractère hyper-codifié<ref>{{Article |prénom1=Françoise |nom1=Hache-Bissette |titre=La Chick lit : romance du XXI e siècle ? |périodique=Le Temps des médias |volume=19 |numéro=2 |date=2012 |issn=1764-2507 |issn2=2104-3671 |doi=10.3917/tdm.019.0101 |lire en ligne=http://dx.doi.org/10.3917/tdm.019.0101 |consulté le=2020-03-06 |pages=101 }}</ref> (à savoir, la [[Happy end|fin heureuse]]) ainsi qu'à la [[normalisation linguistique]] (usage d'argot montréalais et d'anglicismes, néologismes, variations des [[Registres de langue en français|registres de langue]], [[intertextualité]]) tend à indiquer qu'il s'inscrit dans la mouvance des appropriations subversives de ce « genre disqualifié en raison même de son caractère féminin »<ref name="CULTUREHEBDO">{{Lien web|titre=CULTURE HEBDO * MONTREAL * CRITIQUES * LIVRES * DISQUES * DVD * VINS * VIDÉOS|url=http://www.culturehebdo.com/livres_dembre-2016.htm|site=www.culturehebdo.com|consulté le=2020-03-06}}</ref>. Ce type de réception confirme la « prégnance des stéréotypes » qui reproduit « le stigmate associant littérature commerciale et littérature écrite (par) et destinée aux femmes »<ref>{{Article |prénom1=Delphine |nom1=Naudier |titre=Genre et activité littéraire : les écrivaines francophones |périodique=Sociétés contemporaines |volume=78 |numéro=2 |date=2010 |issn=1150-1944 |issn2=1950-6899 |doi=10.3917/soco.078.0005 |lire en ligne=http://dx.doi.org/10.3917/soco.078.0005 |consulté le=2020-03-06 |pages=5 }}</ref> de le rejet des potentialités de renouvellement du genre<ref>{{Article |langue=fr |prénom1=Anne-Marie |nom1=Shink |titre=Ce que les romans d’amour ont à nous apprendre |périodique=Cahiers d'histoire |volume=36 |numéro=2 |date=2019 |issn=0712-2330 |issn2=1929-610X |doi=https://doi.org/10.7202/1066847ar |lire en ligne=https://www.erudit.org/fr/revues/histoire/2019-v36-n2-histoire05089/1066847ar/ |consulté le=2020-03-06 |pages=109–127 }}</ref>. La chroniqueuse affirme en effet que « le roman de Romaine Cauque n’a ni la drôlerie ni la finesse de ses prédécesseurs, et il s’ajoute plutôt à la liste des romans ultralégers et peu intéressants qui ont malheureusement donné mauvaise réputation au genre »<ref name="devoir" />. Ailleurs, on souligne toutefois l'intérêt des "de lire des pages à contre-courant de la pensée unique<ref name="CULTUREHEBDO" />"; d'après le site [[Canoë (site web)|Canoe]], l'écriture du livre est « franche, parfois tranchante, mais toujours teintée d'humour »<ref>{{Lien web|langue=fr|nom1=Média|prénom1=Québecor|titre=Comment survivre à la fin trentaine?|url=http://fr.canoe.ca/divertissement/livres/nouvelles/archives/2016/12/20161208-111624.html|site=fr.canoe.ca|consulté le=2020-03-04}}</ref>.

Le''Meilleure romanchance la prochaine fois'' a été finaliste<ref>{{Article |langue=fr-CA |titre=Kim Thùy, Raôul Duguay et Larry Tremblay à l’honneur au Salon du livre de Rimouski |périodique=Le Soleil |date=2017-10-07 |lire en ligne=https://www.lesoleil.com/arts/kim-thuy-raoul-duguay-et-larry-tremblay-a-lhonneur-au-salon-du-livre-de-rimouski-95613a9696cb0b1092eadb709e40b1c2 |consulté le=2020-03-06 }}</ref>{{,}}<ref>{{Lien web|langue=fr|titre=Le Salon du livre de Rimouski, un « rare et important semeur d’étincelles »|url=https://www.lavantage.qc.ca/article/2017/10/24/le-salon-du-livre-de-rimouski--un---rare-et-important-semeur-det|site=www.lavantage.qc.ca|consulté le=2020-03-06}}.</ref> pour le prix [[Jovette Bernier|Jovette-Bernier]] du [[Salon du livre de Rimouski]] en 2017<ref>{{Lien web|langue=fr-FR|auteur1=|titre=Le Salon du livre de Rimouski demeure toujours aussi populaire|url=http://ckmn.fm/2017/10/06/le-salon-du-livre-de-rimouski-demeure-toujours-aussi-populaire/|site=CKMN|périodique=|date=6 octobre 2017|consulté le=2020-03-04}}.</ref>; une suite est prévue.annoncée à la toute fin du roman.

''Love bombing à Tio'tia:ke'' marque un tournant par le changement de ton et l'emploi d'un style plus près du flux de conscience et de la narration intimiste. Présenté sous forme de journal et publié par DL&DR<ref>{{Lien web|langue=|auteur1=|titre=Des livres et des réfugié-e-s, une maison d'édition pour aider les réfugiés|url=https://www.lapresse.ca/suite/201810/12/01-5199997-des-livres-et-des-refugie-e-s-une-maison-dedition-pour-aider-les-refugies.php|site=lapresse.ca|périodique=|date=24 octobre 2018|consulté le=}}.</ref>, le roman situe l'action à Montréal (« Tio'tia:ke », en kanien'keha, langue des [[Mohawks|Mohakws]]), entre la fête du Canada (1e juillet) et les semaines suivant le [[Référendum de 2017 sur l'indépendance de la Catalogne|référendum de sécession de la Catalogne]], alors que la relation à distance amène la narratrice à réfléchir sur son propre enracinement : <blockquote>« Tu es le premier homme pour qui je quitterais mon pays, de toute façon, je l’ai déjà dit : ce n’est pas tout à fait le mien au sens où il ne m’appartient pas et l’inverse est tout aussi vrai. (La preuve en est que je dois utiliser les services d’une corporation pour savoir, par exemple, où se trouve [[Eeyou Istchee]] et ce que ça signifie, ou encore pour trouver les mots de base dans les langues parlées chez moi depuis des siècles. Est-ce normal que je n’aie pas de meilleur recours immédiat que Google pour m’expliquer ce qui se passe sur le sol où j’ai grandi ?) » (''Love bombing à Tio'tia:ke'', p. 106)</blockquote>Le roman présente "''un savant mélange de politique et d’intime, à la fois récit de voyage et géographie d’une blessure amoureuse''<ref>{{Lien web |langue=fr-FR |prénom=Revue |nom=H |titre=«Love bombing à Tio’tia:ke» de Romaine Cauque - |url=https://revueh.com/2020/07/love-bombing-a-tiotiake-de-romaine-cauque |date=2020-07-09 |consulté le=2020-07-09}}.</ref>", à savoir le phénomène de "love bombing"<ref>{{Lien web |langue=fr-CA |nom=Canalvie |titre=Qu’est-ce que le «love bombing»? |url=https://www.canalvie.com/couple/amour-et-relations/articles-amour-et-relations/relations-amoureuses-love-bombing-1.8775451 |site=Canal Vie |consulté le=2020-07-27}}.</ref> combiné aux difficultés inhérentes aux relations à distance. Il aborde en parallèle les questions d'autonomie, de rapport coloniaux et postcoloniaux, d'attachement au territoire et d'engagement.

''Love bombing à Tio'tia:ke'' marque un tournant par l'emploi d'un style plus près du flux de conscience et de la narration intimiste. Présenté sous forme de journal, le roman situe l'action à Montréal, dans les semaines précédant le [[Référendum de 2017 sur l'indépendance de la Catalogne|référendum de sécession de la Catalogne]].

== Publications ==

'''Romans'''

* ''Love bombing à Tio'tia:ke'' (roman), Éditions Des livres et des réfugié-e-s, 2020.

* ''Meilleure chance la prochaine fois'' (roman), Triptyque, 2016.

'''Nouvelles'''

* « Il y aura autre chose (métonymies)», ''Françoise Stéréo'', numéro 14: les maisons, {{date-|12 octobre 2020}}.

* « Chemins du hasard », ''Le Pied,'' automne 2020.

'''Autres'''

* Fêtes affreuses chez les Brochafoin. Un conte d'Halloweenoël (hors-commerce), 2023.

* [https://revuemiroir.wordpress.com/category/romaine-cauque/ "Un peu de repos"] (micro-nouvelle), ''Revue Miroir,'' 8 décembre 2022.

* ''[https://www.leslibraires.ca/livres/c-est-joli-chez-toi-histoires-romaine-cauque-9782981984616.html C'est joli chez toi. Histoires d'objets trouvés]'' (récit), autoédité, 2021.

* « [https://revueh.com/2020/08/la-morte-de-mathieu-arsenault-pour-la-suite-des-morts ''La morte'' de Mathieu Arseneault: pour la suite des morts] » (recension), ''Revue H'', {{date-|4 août 2020}}.

* « [https://jesuisfeministe.com/2017/05/26/milf-ou-cougar-reflexions-sur-le-cas-macron-trogneux/ MILF ou Cougar : Réflexions sur le cas Macron-Trogneux]» (billet), ''Je suis féministe'', {{date-|27 mai 2017}}.

== Références ==

{{Références}}

== Liens externes ==

{{Portail|littérature}}

{{Liens}}

{{Portail|littérature francophone}}

{{DEFAULTSORTCLEDETRI:Cauque, Romaine}}

[[Catégorie:Romancière québécoise]]

[[Catégorie:Date de naissance non renseignée (XXe siècle)]]